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Erin Brockovich avait mis en lumière la contamination des eaux à Hinkley. C’est aujourd’hui un article du JAMA Network Open de mai qui pourrait mettre les pesticides des terrains de golf sur la sellette. L’étude de cas-témoins, révèle une association forte entre la proximité résidentielle d’un terrain de golf et l’augmentation du risque de maladie de Parkinson (MP). On apprend ainsi que le risque est maximal pour les personnes résidant à moins de 1 mile (1,6 km) d’un terrain de golf, avec une augmentation estimée à 126 % du risque de MP par rapport à celles vivant à plus de 6 miles (9,6 km).
L’étude s’appuie sur les données du Rochester Epidemiology Project (financé par le NIH). Ce sont les distances entre les domiciles et 139 terrains de golf du sud du Minnesota et de l’ouest du
