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Un suivi jusqu’à 15 ans après le diagnostic
L’étude s’appuie sur la cohorte de 2719 patients atteints de SEP, recrutés entre 2005 et 2015. Les chercheurs ont examiné leur consommation de poisson au moment du diagnostic, en distinguant les poissons maigres (cabillaud, colin, merlan…) des poissons gras (saumon, maquereau, truite…). En 2021, un sous-échantillon de 1719 patients a répondu à un questionnaire complémentaire évaluant l’évolution de leurs habitudes alimentaires.
Une réduction marquée du risque d’aggravation du handicap
Manger du poisson semble un facteur protecteur d’aggravation du handicap. En effet, les patients ayant déclaré une consommation élevée au moment du diagnostic ont vu leur risque d’aggravation confirmée du handicap réduit de 34 % (HR 0,66) comparés à ce
