
Le vaccin du laboratoire américain sera le cinquième à être disponible en France.
Même si quatre vaccins étaient jusque-là autorisés en France, ceux de Pfizer et Moderna sont, dans les faits, quasi-exclusivement utilisés. Ils sont basés sur une technologie inédite, l'ARN messager.
Les deux autres, ceux d'AstraZeneca et Janssen, sont redirigés vers les pays pauvres via le programme international Covax (qui a d’ailleurs pris un sacré retard).
"D'après les informations qu'on a, les premières livraisons (de Novavax) sont attendues la semaine du 21 février", a indiqué mardi le ministère français de la Santé lors d'un point de presse.
Le ministère avait initialement prévu des premières livraisons début février.
La France devrait recevoir "entre 1,1 et 1,2 million de doses" pour la première livraison puis "800.000 doses par semaine en mars", a-t-il précisé.
Vendredi dernier, la Haute autorité de santé (HAS), chargée de guider le gouvernement français dans sa politique vaccinale, avait donné son feu vert au vaccin du laboratoire américain.
Les autorités sanitaires espèrent qu'il convaincra les personnes réticentes à se faire vacciner avec les vaccins à ARN messager de Pfizer et Moderna, basés sur une technologie jusqu'alors inédite.
Celui de Novavax utilise en effet une technologie plus classique, similaire à celle du vaccin contre la coqueluche.
Avec AFP
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