
D’après certains défenseurs des traditions carabines, l’érotisme et la pornographie des fresques ou des paillardes seraient une soupape de décompression indispensable aux jeunes médecins, et les aideraient à affronter la mort au quotidien. Mais cette sexualisation à outrance est-elle vraiment indissociable de la formation médicale ? Dans son dernier numéro, What’s up doc est allé voir comment les choses se passent à l’étranger.
Source:
Adrien Renaud
A voir aussi

Quatrième année de médecine générale : Les internes rejettent en masse la rémunération à la prime

Trouve ton internat : voici tous les postes ouverts spé par spé, CHU par CHU

Trop peu d'internes au CHU de Nice à la rentrée, le doyen veut traîner l’État en justice
