What's up Doc : Hippocrate a révélé au public votre double parcours de médecin cinéaste. Enfant, vous étiez plutôt stéthoscope ou sabre laser ?
Thomas Lilti : Ni l’un ni l’autre ! Je jouais avec un ballon de foot… C’est vers l’adolescence que j’ai commencé à m’intéresser au stéthoscope, en même temps d’ailleurs que je regardais vers le cinéma.
Il y avait un stétho dans votre famille. Faire médecine était une vocation, ou plutôt une façon de « tuer le père » ?
TL. : Tuer le père, peut-être pas… mais acheter la tranquillité, certainement ! J’avais des aptitudes scolaires, ainsi que l’envie – et le besoin – de faire ma place dans une famille où les études étaient importantes. Alors marcher dans les traces de mon père, médecin libéral, m’a paru le chemin
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