A l'issue des épreuves, les futurs internes décrivent tous deux un sentiment mitigé, commun selon eux, à l'ensemble de la promo. « Soulagés » que ce soit terminé évidemment, après la quantité de travail fournie sur le long terme, explique Arthur qui avoue qu’au moment des épreuves, « ça allait chaque jour de pire en pire ». « Je suis en train de massacrer mon avenir avec ce concours » s’était-il alors dit.
Mais « frustrés » également, un sentiment qu’ils imputent notamment au contenu des questions « pas représentatif » du travail fourni en amont, selon Gauthier, qui regrette des questions « pratico-pratiques et non plus basées sur de la connaissance médicale pure ». A titre d’exemple, l'une d'elle consistait « à connaître le fractionnement et les doses à mettre dans
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