À Rennes, l'uro' fait chavirer les carabins

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Vivement le futur

Ça bouge au CHU de Rennes ! Actuellement implanté sur cinq sites (Pontchaillou, hôpital Sud, Hôtel Dieu, la Tauvrais et Pasteur), il regroupera à l’issue des travaux toutes ses activités sur le site de Pontchaillou. « Cela prend du temps, mais ça ne déteint pas sur notre pratique quotidienne, affirme Marie Mermier. Cette interne en 4e année d’urologie loue le « plateau technique monstrueux en urologie : deux robots, différents lasers pour les calculs, la prostate… » Pour elle, le CHU est l’un de meilleurs centres français en urologie, peu importe les « sous-spé »… Quant aux périphériques, elles sont « très bien »… Marie bénéficie donc d’une « formation extrêmement complète » dans une région sublime car « la côte bretonne est magnifique du Sud ou Nord ». Il y a aussi Saint-Malo à trois quarts d’heure en voiture, sans oublier les Bretons qui sont « très accueillants et tiennent bien l’alcool ! » Rennes, c’est aussi une « ville très dynamique, avec une vie étudiante intense, une riche vie culturelle, beaucoup d’expos, de concerts… » Rares sont les points noirs selon Marie qui semble vivre comme un coq breton en pâte ! Certes, « il n’y a pas d’internat pour loger les internes, donc il faut se loger soi-même. » Autre défaut concédé : « Certaines spécialités sont concernées par les parties Sud et Nord du CHU situées aux deux extrémités de la ville. Cela fait 30 minutes en voiture entre les deux, donc c’est galère. » Et puis, « on est au bout du monde et on est loin du ski ! » 

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