L'immunologiste à l'Université de Pennsylvanie s'est vu décerner la récompense suprême pour son travail sur l'ARN messager, la technologie à l'origine de vaccins contre le Covid-19 ayant changé le cours de la pandémie.
Il a d'abord cru à un canular lorsque sa collègue Katalin Kariko, récompensée avec lui, lui a écrit à 4h du matin. Et il n'a accepté d'y croire qu'une fois l'annonce officielle faite publiquement par le comité Nobel.
Malgré de nombreuses récompenses déjà reçues ces dernières années, le prix Nobel reste le trophée "ultime", dont il rêvait depuis l'âge de 5 ans.
A désormais 64 ans, et après avoir aidé à combattre un virus ayant perturbé la planète entière et causé des millions de morts, il pourrait décider de prendre une retraite bien méritée. Mai
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