Des hommes, bien sûr, mais aussi des femmes évidemment, s’engagent dans cet exercice avec des rêves d’aventure… mais pas que !
« Au début, raconte Audrey, généraliste, j’ai choisi l’école de santé des armées pour l’autonomie financière, puisqu’on perçoit une solde dès la première année. Mais je suis restée pour l’activité ! ».
Thomas, lui, s’est contenté de suivre une filière qu’il avait rencontrée bien plus tôt : « je voulais faire médecine, et ayant été en collège et lycée militaire, j’ai pensé au service de santé des armées. » Il est maintenant chirurgien militaire.
La dernière enquête "Médecins de l'extrême" revient sur cet exercice très particulier.
Source:
Alice Deschenau