
Lionel Collet, président de la HAS.
© HAS
What’s up Doc : La présidence de la HAS est un poste exposé, surtout depuis la crise sanitaire. Vous qui êtes plutôt habitué à œuvrer en coulisses, pourquoi avoir décidé de passer de l’ombre à la lumière ?
Lionel Collet : Vous avez raison, j’ai choisi, pendant la quasi-totalité de ma carrière, de ne pas être mis en avant. Je me suis toujours effacé derrière l’institution pour laquelle je travaillais. Je n’ai été relativement exposé qu’une seule fois, lorsque je présidais la CPU [Conférence des présidents d’université, NDLR] : c’est une période où il y a eu de fortes grèves liées à la loi sur l’autonomie des universités. Aujourd'hui, j’ai acquis des compétences en tant que médecin, chercheur, conseiller d’État… Quand est arrivé le renouvellement de la HAS, on m

A voir aussi

Sondage exclusif What’s up Doc/FHP : un médecin sur trois en clinique exerce déjà hors les murs

Le classement des meilleurs hôpitaux par spécialité du magazine Newsweek est sorti, voici les établissements français qui performent le plus

Être volontaire pour exercer dans un avion en échange de voyages gratuits, ça vous dit ?

Radiologie interventionnelle : Le Cabinet IRIS et Vivalto Santé inventent un nouveau modèle de soins
