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Commencer le cannabis pour “aller mieux” s’accompagne d’une consommation plus importante et de symptômes psychiques aggravés, à l’inverse des usages initiés par curiosité ou par amusement. C’est ce que met en lumière une étude publiée en août dans BMJ Mental Health : la raison pour laquelle un individu consomme son premier joint constitue un indicateur clinique précieux. Ceux qui ont commencé pour soulager un mal-être psychique ou physique présentent une consommation hebdomadaire de THC significativement plus élevée (jusqu’à +40 unités de THC, p<0,005) et des niveaux accrus de paranoïa, d’anxiété et de dépression. À l’inverse, l’initiation par curiosité ou par amusement s’associe à des scores plus faibles de ces troubles.
Les raisons initiales de consommation
L’étude repose sur l/p>
