Gainsbourg était-il bipolaire ?

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Et autres questions-réponses à retrouver sur les réseaux sociaux

Gainsbourg était-il bipolaire ?

Un lieu où on peut parler de tout, sans complexe, avec des pairs d'ici et d'ailleurs ? Ça existe. Et ça s'appelle le réseau social. Non loin de Facebook et autre Twitter, est venu le temps des réseaux "pros". Seule différence avec ses derniers : on met de côté les photos de bébé chien et autres selfies, et on revêt sa parure de "docteur". Pourquoi faire, nous direz-vous ? Pour débattre, partager nos expériences, se créer un réseau, poser des colles à nos collègues... Mais pas seulement ! 

Communion de connaissances

Outre les questionnements cliniques classiques, du genre "Quelle CAT devant une piqûre de méduse ?", on y trouve des interrogations plus loufoques, mais pas moins pertinentes. Pour exemple : "Gainsbourg était-il bipolaire ?", question posée par un confrère sur le réseau social Comuniti. La réponse est : peut-être bien que oui, peut-être bien que non. Mais ce qui est certain, c'est que la question ouvre le champ de la réflexion à d'autres sphères que celle, bien précise, des troubles psychologiques de l'homme à la tête de chou. C'est ça, l'avantage du réseau social communautaire médical : l'ouverture aux autres et à la connaissance. Un moyen, en somme, de ne pas laisser s'endormir nos neurones. 

Communauté de médecins

Nous en avons recensé trois : DocCheck, le plus international ; Docatus, le plus étendu ; et Comuniti, le dernier né d'Univadis. À vous de choisir. Tous proposent un système d'échanges entre confrères, de partage de documents (photos et vidéos notamment !), de création de groupes thématiques, et un répertoire d'évènements. Qu'on exerce en hôpital, à plusieurs, ou en solo, voilà un moyen de multiplier les rencontres... Professionnelles, on entend !

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Publié par AP

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