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Un pic d’attention… et puis plus rien. C’est ce qui s’est passé concernant la qualité de l’air intérieur lors de l’épidémie de Covid. Tout à coup, chacun s’est mis à aérer son logement ou son bureau, les parents d’élève ont réclamé des capteurs pour mesurer la concentration en CO2 dans les classes, les automobilistes ont découvert les joies du covoiturage à fenêtres ouvertes… Mais cette frénésie n’a pas duré ; les particules, qu’elles soient virales ou chimiques, peuvent de nouveau se répandre sans entrave dans nos logements, nos véhicules, nos lieux de travail, et même nos cabinets de consultation. Voilà qui n’est pas sans inquiéter les (rares) spécialistes qui œuvrent depuis des années pour assainir la qualité de l’air que nous respirons.
« En dehors du risque infectieux, l’air int/em>
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