Cancéro : viens dans le privé, on est bien !

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Il n’y a pas que Gustave-Roussy dans la vie… En matière de cancérologie, les jeunes médecins considèrent souvent que les cliniques sont moins attractives que les Espic ou les CHU. Mais le secteur libéral voudrait bien attirer davantage de talents prometteurs.

Cancéro : viens dans le privé, on est bien !

Jeune cancérologue, avoue-le : tu ne cracherais pas sur une brillante carrière dans un centre privé à but non lucratif comme Gustave-Roussy ou Oscar-Lambret. À la rigueur dans un CHU, s’il est bien équipé… Mais en clinique, pas vraiment. Et pourtant, il existe de belles opportunités dans le libéral. C’est du moins ce qu’on cherche à faire savoir du côté du groupe d’hospitalisation privée Elsan.

« L’offre des cliniques sur la prise en charge du cancer est encore mal connue des jeunes médecins », estime Laurent Chiche, directeur général d’Elsan. D’après lui, il s’agit avant tout d’un problème de communication. Des équipements dernier cri à la possibilité de travailler dans des équipes ultra-pointues, il estime qu’un oncologue en début de carrière peut trouver tout ce

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