Certes les « anapath’ » ne sont pas nombreux mais il semble y avoir une attractivité particulière autour de cette discipline. What’s Up Doc a cherché à savoir ce qui faisait recette en interviewant Pierre, interne de la spécialité à Lyon, pour retrouver les ingrédients qui semblent fonctionner. « Pour les choix, j’avais regardé un peu partout en France. Sans être Paris, Lyon est une grande ville qui permet d’avoir plusieurs services différents avec des spécialisations et surspécialisations (neuropatho, dermato…), pour un bassin de population conséquent, donc un recrutement riche… »
Voilà donc pour la clinique mais qu’en est-il de l’enseignement ? « L’enseignement de l’anapath’ est très hétérogène en France. Dans certains CHU, il n’y a qu’une journée d’enseignement par semestre ! À Lyon il y a une demi-journée hebdo ou deux jours par mois, avec des cours de bonne qualité de notre point de vue d’internes. » Et pour ce qui concerne la qualité de vie, Pierre souligne qu’« au-delà du médical, les différents lieux de stage sont accessibles facilement ce qui préserve des longs temps de trajet. Mais aussi, pour une spé sans garde comme la nôtre, le coût de la vie est raisonnable, ce qui est non négligeable !!! »