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Les muscles pèsent lourd chez les sportifs, mais il n’existe pas d’intervalles d’IMC spécifiques pour cette population. Ainsi, avec une simple balance et un mètre ruban, il est difficile pour un professionnel de santé de diagnostiquer un surpoids ou une obésité chez un sportif, contrairement aux autres adultes. C’est pourquoi une étude italienne, publiée en mars dans la revue nutrients, propose de nouveaux repères plus adaptés à la physiologie particulière de ce groupe.
Les chercheurs ont utilisé des modèles de catégorisation de la corpulence (poids standard, surpoids, obésité) fondés sur la masse grasse. Le modèle retenu a été appliqué à un échantillon de 622 athlètes masculins italiens, âgés de 25,7 ± 4,7 ans, issus de disciplines variées (football, rugby, arts marti
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