Gynéco-obstétrique à Toulouse : parce que c'est surpeuplé

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Trop d'internes, pas assez de postes

Gynéco-obstétrique à Toulouse : parce que c'est surpeuplé

Toulouse est la 13ème ville choisie sur 28 par les futurs internes en gynéco-obstétrique, au classement 2013. Alors même que la ville rose est 5ème au classement général, elle perd 8 places cette année en gynéco-obstétrique. Pourquoi un résultat si moyen ? Philippe, interne de gynéco-obstétrique à Toulouse, nous répond.

Parce que… « il y a trop d’internes »

Parce que… « il manque de terrains de stage, et de postes après l’internat »

Parce que… « il n’y a qu’une seule maternité de niveau 3 dans la région »

Parce que… « il n’y a pas assez de gardes »

Parce que… « cela nous inquiète pour notre formation, par exemple pour l’obstétrique où les gardes jouent un rôle important, et pour la chirurgie gynécologique qui manque de terrains de stage. »

Parce que… « le stage d’externe est nul, et ne donne pas envie de faire gynéco-obstétrique, notamment à cause du trop grand nombre d’externes »

EN BREF :
« Moi, j’adore Toulouse. À mon sens, le seul problème en gynéco-obstétrique est le manque de postes. Sinon, l’ambiance est sympa, les chefs sont gentils, et les périph sont plutôt cools. Bien sûr, il y a des rivalités dans la course aux postes, mais ce n’est pas pire qu’ailleurs... »

 

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What's up doc - publié par AP

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