
Dans le nord de l’Italie (Lombardie, Piémont), les hôpitaux sont saturés. Dans les unités qui accueillent les patients infectés, les médecins sont déjà appelés à privilégier ceux qui ont plus de chance de s’en sortir, rapporte La Croix. Ils doivent « choisir qui intuber, entre un patient de 40 ans et un de 60 ans qui risquent tous les deux de mourir. C’est atroce et nous en pleurons, mais nous ne disposons pas d’appareils de ventilation artificielle en nombre suffisant ». Mais ce qui inquiète encore plus les autorités italiennes, c’est la propagation de l’épidémie dans le sud du pays où le système sanitaire est à bout de souffle... Pour lire l’article dans son intégralité, cliquez ici.
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