
Anders Tegnell, l'épidémiologiste en charge de la crise Covid en Suède.
© DR.
"Nous n'étions pas une sorte de paradis libertaire", déclare Anders Tegnell à l'AFP, qu'il reçoit dans les locaux de sa maison d'édition.
"Nous étions simplement une société qui essayait de trouver de bonnes façons de gérer la situation, de la manière la plus efficace pour nous".
Tandis que le coronavirus prenait le monde de court en 2020 et que les pays commençaient un à un à fermer différents pans de la société, l'un d'entre eux détonnait : la Suède.
Le royaume scandinave avait choisi une approche plus libérale. Pas de confinement, de fermeture d'écoles, de masque obligatoire... L'accent était mis sur la responsabilité individuelle et les recommandations.
Ce choix a suscité de vifs débats à l'étranger, brandi par les uns comme contre-exemple, ou salué par d'autr

A voir aussi

La Consult’ de @sante_politique (Miguel Shema) : "il fallait à un moment commencer à politiser la question de la santé"

Branchet publie sa cartographie des risques opératoires 2023 : les soft skills et les femmes d’abord !

L'ARS occupée, ses salariés bloqués, pour protester contre la fermeture nocturne des urgences de Carhaix
