
Le ministre des Armées a exprimé dans un communiqué vendredi "ses sincères condoléances" à la famille, notamment à la veuve et aux enfants de ce médecin militaire.
"J'apprends son décès avec une immense tristesse. Tout notre soutien et toutes mes pensées accompagnent sa famille, ses proches, la communauté du collège Sévigné et ses compagnons de l'hôpital militaire de Laveran", a écrit sur Twitter le maire de Marseille, Benoît Payan.
Agé d'une trentaine d'années, le père de famille avait été touché au thorax par l'agresseur alors qu'il venait récupérer ses enfants. Ce sont des témoins assistant à l'agression qui avaient maîtrisé l'assaillant en attendant l'intervention des policiers, qui avaient procédé à son interpellation, avait alors rapporté une source policière.
L'agresseur a déclaré avoir agi au nom de Dieu
De nationalité française, l'agresseur aurait déclaré devant les enquêteurs avoir agi "au nom de Dieu". Il aurait également évoqué "le diable". Mais l'hypothèse terroriste a été définitivement écartée par les enquêteurs, selon qui l'homme souffre apparemment de troubles psychologiques.
L'agresseur avait été mis en examen pour "tentative d'homicide volontaire" et écroué. Avec ce décès, ce chef d'inculpation devrait désormais évoluer en "homicide volontaire".
Avec AFP
A voir aussi

La radiologue et ancienne députée Eva Son-Forget jugée pour un refus d’obtempérer lors d’un rodéo urbain sous l’emprise de cocaïne

Procès Péchier : Tako-Tsubo ou poison ? La défense et l’accusation s’opposent

Retrouvé ivre dans les rues de Paris, le sénateur Philippe Mouiller a été arrêté après s'être montré agressif envers les pompiers

Prison avec sursis pour les instigateurs d'un traffic de prégabaline entre la France et la Grèce

Pendant 12 ans, une table de radiologie mal réglée a surexposé des centaines de patients aux rayons X

Un lève-malade défectueux suspecté d’avoir causé la mort de deux patients à l'hôpital de Revel
