
© Midjourney x What's up Doc
« Les recommandations diététiques ont tendance à se concentrer sur la réduction des risques de maladies chroniques comme les maladies cardiaques et le diabète, tandis que la santé cognitive est moins souvent évoquée, bien qu'elle soit liée à ces maladies », a déclaré Dr Daniel Wang, correspondant au Channing Division of Network Medicine au Brigham and Women's Hospital, il est aussi professeur adjoint au département de nutrition de la Harvard Chan School.
Un risque accru et un déclin cognitif accéléré
Les participants consommant au moins 0,25 portion de viande rouge transformée par jour (charcuteries, bacon, saucisses, etc.), présentaient un risque de démence supérieur de 13 % à ceux en consommant moins de 0,10 portion. Une portion correspond à environ 85g de viande rouge non t

A voir aussi

Congrès Endo 2025 : quatre pistes préliminaires de recherche prometteuses en endocrinologie

28,2 et 33,7 kg/m² : deux seuils d’IMC revisités pour le surpoids et l'obésité chez les sportifs

La graisse intermusculaire, un facteur de risque cardiovasculaire indépendant de l'IMC à considérer

Comment bien encadrer les traitements de transition des adolescents transgenres

Surpoids et obésité : comment la science guide la pratique sportive adaptée

La vitamine D ne semble pas efficace pour prévenir l’apparition d’un diabète de type 2 chez les personnes en bonne santé

Sémaglutides (Wegovy) : « Nous sommes au début d'une révolution pharmacologique du traitement de l’obésité », entretien avec le Pr Emmanuel Disse, endocrinologue à l'hôpital de Lyon Sud
