Qui sont ces médecins généralistes qui décident d’ajouter une nouvelle corde à leur arc ? Comment débuter dans un secteur en pleine croissance ? Comment faire pour concilier activité professionnelle et formation ? Nous avons passé toute une journée avec les médecins apprenants et les médecins formateurs, on vous raconte…
Une formation hybride, unique en son genre
C’est le premier traitement de médecine esthétique auquel assiste Benjamin, MG en région PACA et il prend quelques notes, très attentif. Chaque geste est décomposé par le Dr Fabien Giausseran, un expert dans son domaine, qui détaille lentement toutes les étapes pour l’assemblée. C’est un dimanche de formation un peu particulier, en présentiel, qui vient compléter les heures de vidéos sur le sujet. Après la théorie à la maison, place à la pratique sur des modèles - c’est ainsi que sont nommées la dizaine de patientes qui attendent patiemment leur tour - qui sont ravies d’être là, profitant d’un soin exclusif et très, très encadré.
Les 45 médecins apprenants (la plupart sont médecins généralistes mais on repère quelques urgentistes et même trois internes) ne perdent pas une miette de l’échange. Tous se sont inscrits à la formation diplômante « Médecine Esthétique, Nutrition et Anti-âge » d’AMIR Médecine Esthétique d’une durée de 8 mois avec le même souhait : redémarrer à zéro pour certains, apprendre de nouvelles techniques pour d’autres mais surtout répondre à la demande des patients qui explose depuis quelques années.
Une formation hybride, sur-mesure
AMIR Médecine Esthétique, en Espagne tout d’abord mais dans une dizaine d’autres pays depuis, a formé plus de 1350 médecins ces dernières années et se lance en France avec un certain succès. Les places pour la première promotion ont été prises d’assaut en quelques semaines, les inscriptions pour la seconde en octobre sont ouvertes. Ce qui plaît le plus aux médecins qui ont tenté l’aventure ? Le fameux format hybride.
Karine, MG à Toulon, nous confie : “J’ai opté pour le luxe de me former quand je veux, comme je veux, à mon rythme, en regardant des vidéos très explicatives depuis chez moi. Je les commence et les termine comme je le souhaite… Je n’ai pas le temps d’aller en cours. J’aimerais bien mais avec deux enfants et un cabinet il faut m’expliquer comment je pourrais caler deux heures sur les bancs de la fac dans ma semaine. Là, c’est à la carte !”
Une à deux fois par mois, le week-end, avec les autres médecins formés, elle prend le train pour Paris et passe une journée entre pairs à approfondir et expérimenter sur des patients modèles. Les cours sont assurés par des experts de la profession dont Fabien Giausseran, qui nous confie : “Une des clefs de la réussite, c’est l’échange. Le compagnonnage. Parler avec ses confrères, échanger sur ses pratiques, observer les gestes des autres… Ces journées à Paris sont vitales dans la formation. Les médecins se créent un réseau et assurent l’excellence de leur geste.”
“J’avais des besoins concrets et j’ai obtenu toutes mes réponses”
AMIR Médecine Esthétique prend soin de chaque médecin apprenant : la belle clinique du XVIème arrondissement qui accueille aujourd’hui le petit groupe d’apprenants voit défiler en semaine les célébrités mais chut ! Tapis épais, belles lumières, ambiance calme et feutrée pour apprendre, échanger et se poser les bonnes questions. À la pause, ça parle administratif, paperasse, marketing (ça tombe bien, la formation AMIR Médecine Esthétique y consacre un module entier !). On compare les marques, les produits, on échange sur les dernières avancées dans le domaine. AMIR Médecine Esthétique garantit une neutralité totale dans son approche en travaillant avec plusieurs acteurs du secteur. Pauline, urgentiste de 45 ans, s’apprête à changer radicalement de vie après 14 ans dans un CHU : “Je suis rassurée. J’avais des questions très concrètes, je vais ouvrir mon cabinet à la rentrée, j’ai besoin d’un panorama complet sur la spécialité, les pièges quand on se lance à son propre compte, etc…”
Tous les médecins formés avec qui nous échangeons ce jour le confirment : ils ont opté pour une formation diplômante (60 ECTS), qui leur permet de concilier vie professionnelle et vie privée durant les 8 mois d’études. La théorie en ligne, la pratique entourée de médecins esthétiques expérimentés, chaque mois une journée entre pairs, un réseau qui se crée et qui va perdurer au-delà de la formation, voilà ce qui les a séduits. Le Dr Christian Fayard, un expert réputé dans le domaine, s’est chargé de participer à la création du programme pédagogique et de recruter les formateurs. Pourquoi cette collaboration ? Il nous raconte : « Depuis quelques années, la demande pour la médecine esthétique explose et certains qui s’improvisent spécialistes du jour au lendemain donnent une très mauvaise image de la spécialité. AMIR Médecine Esthétique a une solide réputation à l’étranger et j’ai décidé de répondre avec eux à ce besoin de formation, en m’appuyant sur mon réseau d’experts. Je fais intervenir des spécialistes qui ont reçu des prix, qui sont publiés, la crème de la crème dans les congrès ».
Apprendre avec les meilleurs
En effet, les ratés existent mais sont la plupart du temps le fait de personnes non formées qui pour reprendre les termes du Dr Fayard sont « du grand n’importe quoi réalisé par n’importe qui, soit l’exact opposé de ce que nous pratiquons ici. J’ai réuni les meilleurs praticiens sur le territoire. » AMIR Médecine Esthétique forme en 8 mois, sur un modèle hybride très innovant, des médecins capables d’exercer immédiatement. Ces médecins apprenants sont déjà au quotidien au contact d’une patientèle de plus en plus curieuse des innovations. Ils souhaitent accompagner les besoins et ne pas se déconnecter d’une société qui avance très vite sur le sujet.
Vincent, MG en Ile-de-France conclut avec un sourire : “Il faut arrêter avec la honte autour de l’esthétique… Certaines de mes patientes ont des complexes qui les rongent depuis des années et si nous ne prenons pas le temps d’y répondre, elles vont tomber dans les mains de charlatans sur Instagram avec les risques qu’on connaît.”
Un mot revient souvent, durant la journée : “Bien-être” et, à voir les visages des apprenants qui profitent de la pause pour se raconter leur quotidien, il semblerait que ce soit aussi un choix de vie qui se dessine, au-delà d’un virage professionnel. Prendre en compte la santé dans sa globalité, c’est aussi rendre le sourire à des patients qu’on connaît depuis des années et qui n’osaient pas formuler leur besoin essentiel : aller mieux, se sentir belle (ou beau) et être aidé dans cette voie par un professionnel qui les connaît bien. Et qui ne les juge pas. Ça n’a pas de prix.
Inscrivez-vous dés maintenant pour la session d’octobre
La formation en 7 infos flashs !
- Une formation diplômante (60 ECTS) sur 8 mois compatible avec votre activité professionnelle.
- Une connaissance complète et avancée des différentes techniques et procédures esthétiques, en dix modules.
- De la théorie en ligne à votre rythme et de la pratique en clinique une à deux fois par mois le week-end, entouré d’experts.
- Une compréhension des facteurs clés de l’exercice de la médecine esthétique et de la gestion d’un cabinet privé
- Pouvoir démarrer immédiatement son exercice, dans un secteur en pleine croissance.
- Prendre en charge les soins médicaux de manière globale, dans tous les domaines liés aux procédures médico-esthétiques.
- Domaines abordés (liste non exhaustive) : peelings, toxine botulique, implants, fils tenseurs, trichologie, dispositifs lumineux pour le traitement des tatouages ou le remodelage du collagène, etc.
Prenez rdv avec le responsable des admissions pour lui poser toutes vos questions