Plus de 40 ans après une victoire acquise dans la douleur pour dépénaliser l’interruption volontaire de grossesse, le combat n’est toujours pas gagné. La génération des médecins militants des années 70 se retire, et laisse derrière elle un vide pour les femmes.
Le choix. Dans les échanges avec les acteurs et les militants qui soutiennent l’accès à l’IVG, le mot revient sans cesse. Lorsqu’il s’agit d’avorter, les femmes doivent avoir le choix. Un choix éclairé, à la lumière des techniques et des dispositions légales. Un choix de lieu, en ville ou à l’hôpital. Un choix qui doit être en accord avec ce que l’acte représente pour la femme, et avec l’accompagnement dont elle a besoin.