« Ici, le patient est celui du cabinet, pas d’un médecin » : l’intelligence collective au service du soin

Une organisation centrée sur le patient 

Entraide et complémentarité fluide, au service du patient, voici les maîtres mots des médecins de ce cabinet.  « Le patient n’est pas celui d’un médecin, mais celui du cabinet. Cette approche permet une prise en charge fluide : hospitalisations, urgences ou consultations sont assurées par le praticien disponible, garantissant une continuité des soins permanente. Nous avons également mis en place une organisation partagée sur le plan administratif : gestion commune des vacances, astreintes tournantes, répartition des tâches administratives. On mutualise les coûts, mais aussi les responsabilités : chacun gère quelque chose pour alléger le quotidien des autres » explique Henri Thiebault

Au bloc, l’entraide est systématique : « Il y a plein de cabinets où chacun travaille pour soi. Nous, on demande facilement de l’aide à nos collègues pour ne pas annuler des patients et assurer la fluidité du service » souligne Julien Loreau.

Clémentine Riault insiste également sur la variété des profils : « Nos activités sont  complémentaires. Avec l’ensemble des membres du cabinet, on arrive à tout faire, tout en garantissant un niveau d’excellence. Certains se concentrent sur l’endoscopie interventionnelle, d’autres sur les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) ou encore la nutrition. Cette diversité enrichit le collectif et élargit l’offre de soins. »

L’intelligence collective au cœur du fonctionnement

La stabilité de l’équipe paramédicale est aussi un atout majeur. Grâce au soutien de la clinique, les infirmières ont pu bénéficier de formations universitaires (DU) pour se spécialiser en endoscopie et se projeter dans la durée. « Cela nous permet d’avoir du personnel compétent, motivé et une équipe qui reste soudée » explique Henri Thiebault.

L’intégration de nouveaux praticiens se fait également naturellement puisque Vivalto Santé facilite le recrutement en proposant des profils adaptés, mais en laissant le dernier mot à l’équipe médicale. « Une fois recruté, l’accès au bloc, l’intégration dans les locaux… tout se fait facilement » souligne Henri Thiebault. Même en période tendue, la synergie de l’équipe est un atout indéniable. « La crise des personnels médicaux pendant la période Covid n’a pas été simple… mais la bonne ambiance est un atout pour fidéliser les infirmier(e)s » raconte Julien Loreau.

« Le soutien mutuel reste essentiel. On essaie de déjeuner ensemble tous les midis pour échanger. Ça paraît anecdotique, mais c’est la clé pour maintenir la cohésion », insiste Henri Thiebault. Clémentine Riault conclut : « Le plus important, c’est de bien s’entendre et de communiquer. C’est grâce à ça qu’on arrive à bien travailler ensemble. »

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L’apport structurant de Vivalto Santé

Si cette synergie repose sur l’équipe, l’appui de Vivalto Santé joue également un rôle déterminant. Henri Thiebault souligne l’importance de la gouvernance partagée : « On a la chance de pouvoir donner notre avis. Il ne faut surtout pas s’en priver, car cela a des retombées positives directes sur nos conditions de travail »

Julien Loreau confirme : « On a un bloc uniquement dédié à l’endoscopie. C’est une chance énorme : du personnel motivé, formé, et du matériel de pointe.  Cet atout est rare en France, où l’endoscopie est souvent intégrée à des blocs opératoires généraux. De plus, on est toujours écouté quand on a des besoins, c’est vraiment appréciable. »

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Le groupe Vivalto Santé s’investit également sur le terrain de la recherche, en mettant à disposition des attachés de recherche clinique dédiés. « Cette organisation permet de monter et de suivre des protocoles d’études directement dans le service, d’offrir à certains patients un accès à des innovations thérapeutiques et de renforcer l’attractivité du cabinet. » explique Clémentine Riault. Elle précise d’ailleurs que l’appui dépasse largement le champ médical. « Vivalto Santé nous a même aidés sur des questions juridiques liées au cabinet, alors qu’ils n’y étaient pas obligés. On se sent vraiment soutenus. »