Emmanuelle Bercot, une vraie fille de… « Je voulais être chirurgien comme mon père. Il m’a pas mal dissuadée, je le regrette »

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De La Fille de Brest, sur la lanceuse d’alerte du Médiator, en passant par De son vivant, film poignant sur la fin de vie, César du meilleur acteur pour Benoit Magimel, ou la semaine prochaine en réalisatrice pour la deuxième saison d’En thérapie sur Arte, Emmanuelle Bercot n’est jamais loin du soin, et donc de la médecine. Et pour cause, son père était chirurgien cardiaque à Lariboisière… Donc oui, Emmanuelle Bercot est une fille de…

Emmanuelle Bercot, une vraie fille de… « Je voulais être chirurgien comme mon père. Il m’a pas mal dissuadée, je le regrette »

«Je suis très sensible au monde médical, d’abord parce que je suis fille de chirurgien. J’ai très longtemps voulu l’être, jusqu’à 15 ans. Du coup, j’ai énormément accompagné mon père en salle d’opération, c’était ma passion. C’est un univers qui me fascine et dont je me sens proche. C’est pour cela que j’ai fait deux films quasiment coup sur coup à l’hôpital. »

« Le film est dédié à mon père, chirurgien cardiaque »

En effet, Emmanuelle Bercot filme les hôpitaux et les médecins comme peu de cinéastes, avec un regard à la fois empathique et connaisseur. Pour La fille de Brest, sur le combat d’Irène Frachon, pneumologue et lanceuse d’alerte dans l’affaire du Médiator, elle a misé sur sa proximité avec le secteur. « Le film est dédié à mon père, chirurgien cardiaque. Le monde médical

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