« Vectoriser, c’est cibler ! En fait, un médicament que l’on vectorise est nanoencapsulé dans des vecteurs qui peuvent être polymères, lipides… Les liposomes en sont un exemple. Grâce à la vectorisation, on augmente la probabilité pour le médicament d’atteindre sa cible sans perte en cours de route, ni dégâts collatéraux…
Il est possible aussi, de coupler des ligands à cette nano-enveloppe, capables de reconnaître les récepteurs biologiques d’un tissu, d’une cellule, ou même d’un compartiment cellulaire. Le but ultime est d’optimiser la délivrance des traitements en permettant d’augmenter sa distribution sur la cible d’intérêt, tout en diminuant sa toxicité systémique. »
Pour revenir avec le Pr Elias Fattal sur l’histoire du développement des nanomédicaments et leur avenir, retrouvez l’interview dans son intégralité !
Source:
RJ
A voir aussi
EDN-Ecos : ce que la réforme a vraiment amélioré (ou empiré) pour les internes
Les urgences du CHU de Caen privées d'internes dès aujourd'hui, pas assez d'encadrants
La Consult' de Mélanie Debarreix : « On représente 40% de l’effectif médical, 70% des prescriptions, et c’est trop souvent oublié »
EDN : une épreuve du concours d’internat annulée, hier, après un « bug technique »
Rémunération des DJA : l’ensemble de la profession se lève contre un montage financier « inacceptable »