Selon les informations d'Actu Lyon et du Progrès, cette femme de 71 ans, hospitalisée en soins palliatifs, a reçu par injection une surdose de morphine, administrée par une de ses filles. Celle-ci aurait expliqué avoir voulu mettre fin aux souffrances de leur mère.
L’enquête devra déterminer les circonstances exactes de ce geste
Ni le parquet ni la police n'ont souhaité confirmer ces informations.
L'enquête, confiée à juge d'instruction, "devra déterminer les circonstances exactes de la commission de ce crime et de son contexte", ajoute le parquet, qui a simplement précisé que les deux personnes poursuivies avaient été placées sous contrôle judiciaire.
Un projet de loi sur la fin de vie, qui devrait ouvrir la possibilité strictement encadrée d'une assistance au suicide, avait commencé à être débattu par les députés au printemps, mais la dissolution a mis un coup d'arrêt aux discussions.
Avec AFP