CHU de Montpellier : Une appli pour rapprocher soignants et patients

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Le projet avance bien !

CHU de Montpellier : Une appli pour rapprocher soignants et patients

Le CHU de Montpellier développe une solution d’accompagnement à domicile pour ses patients afin de les suivre sur tout le long de leur parcours de soins. L’établissement, à travers sa politique de mécénat, vient de recevoir 40 000€ pour finaliser la mise en oeuvre du dispositif.

40 000€ ! C’est le montant que vient de recevoir le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Montpellier pour le développement d’une application smartphone à destination de ses patients. C'est le fonds de dotation du Pr Henri Pujol et la Caisse d’Épargne qui ont mis la main à la poche pour voir se mettre en oeuvre cette nouvelle solution.

L’objectif du dispositif ? Rapprocher les soignants et les patients, ainsi que leurs proches, après et entre les différents temps d’hospitalisation, en organisant un suivi tout au long du parcours de soins. L’application veut faciliter « la prise de contact avec le service de soins », rapporte le communiqué du CHU, et « rendre le patient pro-acteur de sa santé, en lui permettant de disposer de certaines informations générales sur sa santé et sur son éducation thérapeutique ».

L’équipe soignante disposera d’un système d’alerte

Le patient pourra enregistrer certaines données médicales, contacter l’équipe médicale via une messagerie, bénéficier de conseils en ligne et retrouver de nombreuses informations pratiques grâce à l’utilisation d’un agenda « incluant un ensemble d’événements (consigne, questionnaire, rendez-vous, prescription, conseil, coaching) ».

L’équipe soignante n’est pas en reste, puisqu’elle disposera « d’un système d’alerte et de rappels qui contribue à sécuriser le parcours de soins du patient » et pourra elle aussi dialoguer à distance. L’application, explique le CHU, sera testée à partir du premier trimestre 2018 dans deux services. Ce sont les hôpitaux Gui de Chauliac, et son unité de chirurgie et d’anesthésie ambulatoire, et Arnaud de Villeneuve, et son service d’oncologie thoracique, qui auront la chance d’expérimenter le nouveau dispositif.

Source:

Thomas Moysan

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