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Lancé par la Commission européenne et coordonné par l’Institut national du cancer (Inca) français, ce projet vise à « garantir à 90 % de la population un accès à des soins de haute qualité tout en réduisant les disparités entre États membres », précise un communiqué.
Les autorités nationales de 11 pays ont désigné les 33 premiers centres à briguer cette certification européenne : en Espagne (14), en France (4), en Belgique (4), en Lituanie (3) ou encore en Norvège (2), mais aussi en Bulgarie, Roumanie ou encore à Chypre (1 dans chaque pays) notamment.
500 millions d’Européens concernés
Une fois désignés, les centres doivent faire une auto-évaluation de 6 à 11 mois, suivie d’un audit sur site, pour aboutir à « un rapport détaillé et des recommandations d’amélioration continue ».
À l’horizon de 2028, ce réseau couvrira 31 pays et quelque 500 millions de citoyens européens, a rappelé l’Inca, dans le cadre du projet EUnetCCC, à l’occasion de la première réunion annuelle de ses membres, jeudi.
Ce projet, doté d’un budget de 112 millions d’euros, s’inscrit dans le cadre du Plan cancer européen et d’un programme appelé EU4Health.
Avec AFP