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Au total, l'Agence nationale de sécurité du médicament a enregistré l'an dernier 4 925 déclarations, contre 3 761 en 2022, soit une hausse de 30,9%. Ces signalements ont plus que doublé (+128%) par rapport aux 2 160 signalements reçus en 2021.
Cette progression s'explique notamment "par le souhait des autorités d'avoir des déclarations le plus tôt possible", avant que ne surviennent les ruptures, indique la directrice générale de l'ANSM, Christelle Ratignier-Carbonneil.
Un même médicament peut faire l'objet de plusieurs signalements par les acteurs concernés par la distribution des produits au cours d'une même année, précise aussi l'Agence.
Pour 40% des déclarations, il a fallu mettre en place des mesures pour couvrir les besoins des patients : importer des médicaments
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