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Ce n'est pas passé loin, mais la liberté d'installation des médecins libéraux est sauvée. L'Assemblée nationale a rejeté la mesure de restriction de la liberté d'installation.
Cette loi prévoyait que les médecins libéraux et chirurgiens-dentistes souhaitant s'installer dans des zones déjà bien pourvues en soignants doivent obtenir une autorisation de l'Agence régionale de santé, conditionnée au départ d'un praticien exerçant la même spécialité. La mesure, combattue par le gouvernement, a été rejetée par 168 voix contre 127.
Le vote du reste de la proposition de loi de Frédéric Valletoux se poursuit à l'Assemblée. Hier un amendement a été voté qui renforce les pouvoirs des CTS, Conseils Territoriaux de Santé.
Avec AFP