
Avril 2022 - 4 chirurgiens quittent leur hôpital en même temps pour monter leur structure libérale, ils nous expliquent…
Mauvaise gestion, pas de vision, quatre chirurgiens orthopédistes ont décidé l’été dernier de quitter l’ESPIC où ils exerçaient. Ils se sont lancés tous les quatre en libéral, pour leur plus grand bonheur. Ils partagent leur enthousiasme… « Tout le monde s’en fait un monde, mais ça va. C’est du travail au début la création de cabinet mais c’est passionnant et c’est mentalement moins fatigant qu’avoir un directeur au-dessus qui nous bloque. Surtout quand on est 4 et qu’on se répartie les tâches de travail administratif. Chacun son rôle. »
Quatre hospitaliers qui ont osé le libéral, (re)lire l’article
Avril 2022 - « Interne choisie par Olivier Véran pour une mission ministérielle, à 30 ans, il y a eu des appels pour se plaindre de notre jeunesse et qu’on ne soit pas PUPH »
Pauline Martinot, 30 ans, docteur en médecine et interne a été sélectionnée pour prendre en charge la mission ministérielle d’Olivier Véran sur la santé des jeunes. Cette mission a permis de mettre en place des mesures concrètes pour la santé des jeunes. Mais ce n’est pas toujours si simple pour une jeune interne de faire sa place dans un monde de politiques… mais elle a su trouver sa place.
Une médecin en cabinet ministériel, (re)lire l’article
Juillet 2022 - « Après 35 ans à l'hôpital j'ai décidé de partir, alors que j’ai une grosse capacité à encaisser. Cela n’avait plus de sens »
Au centre hospitalier du Cotentin de Cherbourg, quatre urgentistes ont décidé de démissionner. Même Charles Jellef, urgentiste à l’hôpital, durant 35 ans, n’a pas trouvé d’autres solutions, face à une situation de plus en plus dramatique. Chef de service dans plusieurs hôpitaux, aguerrie au métier. Il confie son désarroi : « J’ai une capacité à encaisser émotionnellement assez importante. Ce qui m’a poussé à partir est la charge de travail que l’on doit fournir en un laps de temps réduit. Nous sommes dans des métiers où l’on a tout le temps l’impression d’être submergé ».
Un médecin déçu par le service public, (re)lire l’article
Aout 2022 - Martial Jardel : un médecin, un camping-car et des déserts médicaux
Martial Jardel, jeune médecin diplômé en mars 2021 a décidé de se retrousser les manches et de partir à la découverte des déserts médicaux de France. Alors plutôt que s’installer dans un cabinet ou en centre de santé, il s’est procuré un camping-car pour sillonner le pays, et partir soigner là où l’on a besoin de lui avec un enthousiasme communicatif : « Nous faisons un métier magnifique, nous ne pouvons pas rester les bras croisés face à toutes les personnes qui renoncent à l’accès aux soins. » Il en est revenu avec une idée, “médecin solidaire”, « Nous avons proposé une action concrète. Au lieu de s’installer dans les territoires ruraux de façon pérenne on peut donner une semaine par an. »
Un généraliste au chevet des déserts médicaux en camping-car, (re)lire l’article
Août 2022 - « Médecin hématologue, j’ai décidé de devenir aussi médecin expert visiteur à la HAS, pour certifier les hôpitaux, voici mon expérience »
Aude Quentin Gondard est une médecin dynamique, impliquée et positive. Après 12 ans en hématologie à l’hôpital Jean Jaurès, elle a décidé de rajouter à sa pratique un rôle de médecin expert visiteur de la HAS. En quoi ça consiste ? Comment devenir expert visiteur ? Qu’est-ce que ça ajoute à son propre exercice ?
Quand une médecin se lance dans l’expertise, (re)lire l’article