"Le Covid est toujours là à bas bruit", a souligné le ministre démissionnaire.
"On n'est pas sur une période d'explosion ou de retour fort du Covid", a-t-il assuré.
"Fin mai, début juin on a enregistré un léger pic, qui depuis début juin a tendance à diminuer", mais le virus "n'a jamais disparu".
Plusieurs sportifs ont été testés positifs au Covid-19 depuis leur arrivée en France.
"Sur 10 500 athlètes présents pour les JO, inévitablement on savait que le risque zéro n'existait pas", a encore souligné Frédéric Valletoux, disant suivre la situation "de très près".
A ce stade, le ministre a exclu le retour du masque dans les enceintes sportives "pour l'instant".
« Il n’y a rien comme signal d’alerte très fort »
"Ce sera au comité d'organisation de décider enceinte par enceinte (...) Je ne dis pas que c'est non pour 15 jours mais aujourd'hui il n'y a rien comme signal d'alerte très fort", a détaillé Frédéric Valletoux.
L'équipe féminine australienne de water-polo semble particulièrement touchée avec cinq joueuses infectées, comme l'a confirmé la cheffe de la délégation, Anna Meares.
Plusieurs sportifs belges ont également été testés positifs, selon le médecin du Comité national olympique, qui n'a précisé ni les noms, ni les disciplines concernées.
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Conséquence directe, certaines délégations ont décidé de renforcer leurs mesures de précaution, comme l'équipe de France d'aviron, dont les rendez-vous médiatiques en amont du début des épreuves se sont déroulés avec obligation de porter un masque.
Avec AFP