
Faire une garde en cardio en compagnie d’un interne qu’on ne pas piffrer, c’est déjà assez difficile. Mais quand, à la suite d’un arrêt cardiaque, ce même interne vous demande d’annoncer le décès d’une mamie de 95 ans qui n’est pas encore tout à fait morte, ce n’est plus difficile à vivre, cela devient un cauchemar éveillé ! Quelques années plus tard, Henri Duboc revient sur cet événement douloureux qui lui aura permis de prendre conscience d’un certain nombre de choses.
A voir aussi

La charge mentale des chirurgiens au bloc opératoire : une pression invisible, souvent sous-estimée
