L’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), ex-Afssaps, a semble-t-il fait du chemin depuis qu’Irène Frachon, à ses risques et périls, a lancé l’alerte concernant les risques du benfluorex dès 2007, laquelle alerte allait aboutir au scandale sanitaire du Médiator®. Désormais les lanceurs d’alerte, plutôt que d’être ignorés ou méprisés par les institutions sanitaires, auront des outils à leur dispositions pour avertir de dysfonctionnement qu’ils constateront. Lors d’un point presse le 1er février dernier, l’ANSM a en effet informé qu’elle ouvrait une adresse mail spécifique pour « faciliter la déclaration des signalements faits par les lanceurs d’alerte et de renforcer leur suivi ». Cette adresse est la suivante : lanceur.alerte@ansm.sante.fr
Les alertes doivent avoir
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