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Les médecins d'aujourd'hui n'ont rien rien à envier à ceux de la Renaissance en matière d'efficacité thérapeutique. Ils pourraient en revanche être jaloux des talents poétiques de leurs ancêtres.
Dans un livre foisonnant, Dominique Brancher présente avec érudition et humour les ambiguïtés de la pudeur à la Renaissance. Il offre une occasion de se plonger dans la langue fleurie des médecins et poètes de l'époque, qui pensent parfois qu'il vaut mieux goûter les plaisirs de l'imagination et du verbe que ceux trop dangereux de la chair.
Pour en savoir plus, c'est par ici ou dans le dernier What's Up Doc.
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La rédaction