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Ces recommandations visent à « aider les professionnels de santé à la prise en charge des femmes susceptibles de présenter une endométriose et rendre homogènes les procédures sur le territoire », explique la HAS.
L’endométriose touche de nombreuses femmes – plus de 2 millions en âge de procréer –, avec des manifestations variables : douleurs pelviennes, infertilité… Mais cette pathologie est souvent mal détectée, les patientes mettant parfois des années avant que soit posé leur diagnostic.
À l’heure actuelle, le parcours diagnostic comprend plusieurs étapes : un examen clinique, à partir des symptômes, puis éventuellement un examen d’imagerie. Dans les cas où celui-ci ne confirme pas l’endométriose malgré la présence de symptômes, il est possible d’envisager une opération chirurgicale, mais celle-ci est invasive et souvent incertaine.
Les médecins pourront réaliser les échos pelviennes s’ils y sont formés
Les recommandations actualisées de la Haute Autorité précisent ce parcours.
Dès l’examen clinique, notamment réalisable par un généraliste ou une sage-femme, « en cas de symptômes et/ou signes cliniques, une échographie endovaginale de première ligne pourrait être pratiquée par un médecin formé à cette pratique », juge la HAS.
L’étape suivante « mise en œuvre par le gynécologue référent et un radiologue référent repose sur la réalisation d’une IRM pelvienne +/- échographie endovaginale », poursuit l’autorité.
Enfin, si une opération est envisagée, une dernière étape réunit plusieurs spécialistes et vise à « déterminer le stade évolutif de la pathologie afin d’adapter la prise en charge – la localisation des lésions, les techniques opératoires plus appropriées… ».
Avec AFP
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