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Ils affirment sans ciller que le nuage de Tchernobyl s’est arrêté aux frontières. Plaident leur non-culpabilité lors des procès du sang contaminé, laissant les lampistes trinquer à leur place1. Produisent une indication fallacieuse et escamotent les risques d’un antidiabétique en l’utilisant comme coupe-faim ou agitent en pleine pandémie un remède miracle. Invoquent l’inutilité des masques pour justifier leur manque d’anticipation, sans l’assumer par crainte de ternir leur campagne. Fricotent avec les milieux complotistes, se muent en gourous youtubeurs et figurent au générique de douteux documentaires. Devenus « doc’stars », les voici davantage à l’écran qu’en consult’, faisant le grand écart entre leur nombre de followers et celui de leur patientèle.
Des médecins qui sortent de le
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