
20H/501Y.V2. VOC 202012/02. B.1.351. Parmi ces candidats pour renommer le variant qui serait apparu en Afrique du Sud, qui obtiendra la rose ? Si ces noms sont tous séduisants aux oreilles de scientifiques, ils sont compliqués à retenir pour la population générale. Et la crise Covid a pourtant mis les variants au cœur de toutes les conversations. Il faut donc bien les nommer.
"« Ce qui est difficile, c’est de trouver des noms distincts, informatifs, qui n’impliquent pas de références géographiques et qui sont en quelque sorte prononçables et mémorables », a déclaré Emma Hodcroft, épidémiologiste moléculaire à l’Université de Berne en Suisse. « Cela semble assez simple, mais c'est en fait une très grande demande d'essayer de transmettre toutes ces informations »", peut-on lire dans le New York Times.
Un groupe de réflexion, coordonné par l’ONU travaille actuellement à un schéma universel simple et évolutif pour nommer les virus. Et celui qui semble tenir la corde : les nommer dans l’ordre de découverte : V1, V2, V3 etc. Tout ça pour ça ?
Pour en savoir plus, c’est ici (article en anglais).