Les ECNi sont un long fleuve tranquille

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Qui l’eut cru ?

Les ECNi sont un long fleuve tranquille

C’est parti ! Les ECNi se tiennent depuis hier, et c’est un ciel sans nuages qui s’ouvre pour les D4. Aucun plantage de quelque sorte n’est en effet venu entacher la tenue de ces examens si cruciaux et si attendus par les carabins. Petit point d’ambiance.
 

Comme des casseurs qui attendent une manif, nous vous mentirions si nous vous disions que la rédaction n’espérait pas secrètement quelques petits bafouillages croustillants. Mais force est de constater que le déroulement de ces examens est si calme qu’il s’apparenterait presque à de la navigation sur une mer d’huile. Au grand soulagement des carabins.

Le Système informatique distribué d’évaluation en santé (Sides), portail d’entrainement aux ECNi, tweetait d’ailleurs hier que « la première journée des #ECNi2016 s'est déroulée sans incident majeur ». Soulagement parmi les étudiants, plutôt discrets sur la toile depuis deux jours.

Le calme plat dans la twittosphère carabine n’est émaillé que par de rares mais toujours enthousiasmants témoignages d’étudiants pour qui les sujets ont vraisemblablement posé problème.

 

Au menu du jour,  « pneumo, psy, pedia, medlegale, radio » le matin et  « morsure chien - dermatite, osteoporose chez un homme de 38 ans - hypercalcemie - myélome chaine legere » l’après-midi, d’après Robin Jouan, vice-président de l’ANEMF chargé des tutorats. Des sujets faciles pour certains, déroutants pour d’autres. Il y en a même à qui les questions ont inspiré de grands projets artistiques.

Le hashtag #promocrashtest semble donc bien loin, alors que les sujets de l’après-midi se terminent. Un examen qui se poursuit donc jusqu’ à demain sauf imprévu et qui, pour le moment, ne fait l’objet d’aucun scandale. Restons malgré tout prudent, le plus grand nombre se souviendra certainement du calme qui avait précédé la tempête lors des ECNi blanches en mars dernier.

Carabins, ne relâchez pas la pression, rien n’est joué, il reste encore vingt-quatre heures à tenir.

 

Courage, on vous aime !

 

 

Source:

Johana Hallmann

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