wh Abdelhalim Bensaidi : « On est revenu au point de départ : la même précarité et la même obligation de repasser le concours pour les PADHUE »

Abdelhalim Bensaidi : « On est revenu au point de départ : la même précarité et la même obligation de repasser le concours pour les PADHUE »

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Alors que plusieurs centaines de médecins à diplôme étrangers étaient sous la menace d’un licenciement, la ministre de la Santé Catherine Vautrin a promis lundi 22 janvier, de prolonger leurs autorisations de travail. Une fausse mesure qui les maintient dans la précarité, selon le Dr Abdelhalim Bensaidi, diabétologue à Nanterre (Hauts-de-Seine) et vice-président de l’association IPADECC.

 

Abdelhalim Bensaidi :  « On est revenu au point de départ : la même précarité et la même obligation de repasser le concours pour les PADHUE »

Dr Abdelhalim Bensaidi, diabétologue à Nanterre (Hauts-de-Seine) et vice-président de l’association IPADECC

© DR.

Ils sont plus de 4 000 médecins étrangers, parfois payés jusqu’à trois fois moins que leurs confrères français, pour travailler à leurs côtés dans les hôpitaux. Beaucoup d’entre eux ont échoué aux épreuves de vérification (EVC), nécessaires pour l'inscription à l’Ordre des Médecins, mais jugées trop sélectives et inadaptées. La question des PADHUE (Praticiens à diplôme hors union-européenne) a ressurgi au 31 décembre dernier avec l’expiration du statut temporaire permettant à ceux qui avaient échoué à ce concours de continuer d’exercer en France. Si plusieurs centaines de non-lauréats se sont alors retrouvés sous le coup d’un licenciement, voire d’une expulsion, le gouvernement leur a donné un répit : ils pourront continuer à exercer jusqu’

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