Poussez la porte du premier bistrot venu. Commandez un café (ou ce que vous voulez). Dites : « Y’en a marre de ces arrêts maladie, mon collègue s’est encore mis en arrêt. » L’effet est garanti : du patron, qui peine à remplacer un serveur malade, au client accoudé à côté de vous, dont la cousine connaît quelqu’un qui est en arrêt depuis deux ans alors qu’il se porte comme un charme, tout le monde y mettra son grain de sel. Et un bouc-émissaire sera rapidement désigné à l’unanimité : ces ânes bâtés de médecins qui prescrivent des arrêts de travail sur simple demande.
Le médecin conseil pointe « une petite frange de médecins qui peuvent avoir du mal à dire non »
Le problème, c’est que vos camarades de comptoir ne sont pas les seuls à penser ainsi. Les indemnités journalièr
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