Dans la cour d'une prison de sécurité maximale de Maputo, au Mozambique, un homme au crâne rasé, en T-shirt orange barré du terme "détenu", attend patiemment, le torse face à une large tablette blanche accrochée à la verticale.
Derrière lui, un infirmier appuie sur le bouton de l'appareil à rayons X portable relié à un programme d'intelligence artificielle : un nouveau dispositif salué comme une avancée dans la lutte contre la tuberculose.
L'IA permet de lire précisément et instantanément la radio, sans faire appel à l'expertise d'un médecin.
"C'est du temps réel, nous avons les résultats en moins de cinq minutes", explique le soignant.
L'image s'affiche bientôt sur l'écran d'un technicien, installé à quelques mètres, accompagnée d'un diagnostic : "Signes radiologiq
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