Arrêt de soins, intoxication, anti-médicament et bien sûr antivax… La face sombre des médecines douces

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Naturopathie, hypnose, iridologie : les "médecines douces" ou "alternatives" séduisent de plus en plus de Français. Au-delà des cas médiatiques des "gourous 2.0" comme le crudivoriste Thierry Casasnovas, des dérives plus banales mais aussi bien plus fréquentes inquiètent autorités et médecins.

Arrêt de soins, intoxication, anti-médicament et bien sûr antivax… La face sombre des médecines douces

© IStock

Publicité mensongère, pratiques commerciales trompeuses, exercice illégal de la médecine : toutes disciplines confondues, la majorité des professionnels des "pratiques de soins non conventionnelles" (PSNC) contrôlés en 2021 par la répression des fraudes présentaient des "anomalies".

Pour l'ex-naturopathe Sohan Tricoire, rien d'étonnant "quand on sait que certains s'achètent une formation à 60 euros en ligne et peuvent mettre une plaque".

Sur sa chaîne YouTube notamment, elle met en garde contre les arnaques, mais aussi les dangers de la naturopathie, qu'elle a exercée pendant quatre ans. Elle donne aussi la parole à des "victimes" des médecines douces, parmi lesquelles Jenny Pautet, étudiante de 23 ans.

Jenny raconte comment un simple jus de légumes, préparé par sa

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