Généralistes et spécialistes libéraux étaient appelés à tirer le rideau, annuler les consultations et déprogrammer toutes les opérations prévues, hors urgences vitales, pour "reporter" les patients vers l'hôpital public et démontrer "l'importance de la médecine libérale".
Cette grève ne fera pas les gros titres, suite au meurtre d’un enseignant d’Arras par un terroriste islamiste.
Néanmoins, d’après deux des principaux syndicats, environ les deux tiers des praticiens libéraux ont suivi le mouvement.
"On a 60-70% de grévistes en moyenne. A Paris le mouvement n'est pas très suivi mais en province, énormément se sont arrêtés", a assuré Philippe Cuq, président du Bloc (syndicat de chirurgiens) et porte-parole de l’intersyndicale, qui réunit 12 organisations de professionn
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