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Vision d’horreur en Normandie. Ce jeudi 19 août, le corps sans vie d’un étudiant en sixième année de médecine a été retrouvé au domicile de ses parents situé à Bihorel (Seine-Maritime). Charlotte sur la tête, le jeune garçon était intubé, perfusé, et avec une sonde urinaire posée.
C’est vers 17h que la mère de la victime a appelé les secours. Arrivée une heure plus tôt, cette dernière s’étonnait du silence de son fils. Une interrogation qui l’aurait poussée à visiter sa chambre, découvrant alors cette scène macabre. Une fois sur place, le SMUR et les sapeurs-pompiers n’ont pu que constater le décès du jeune homme de 24 ans.
Selon Paris-Normandie qui a dévoilé l’affaire, un étrange attirail aurait également été retrouvé à proximité du corps du défunt. Un respirateur artificiel non branché, deux téléphones portables reliés à des batteries, et des instruments chirurgicaux auraient notamment été découverts. La mère de la victime a affirmé n’avoir jamais vu ces derniers auparavant.
Des découvertes suspectes qui auraient poussé les autorités à ouvrir une enquête afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame. Les investigations ont été confiées à la Sûreté départementale de Rouen.
La rédaction adresse tout son soutien aux proches du défunt.
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L’oncle de la victime dément Rebondissement. Cinq jours après cette découverte macabre, un membre de la famille a formellement démenti cette version dans les colonnes de la Depêche du Midi. À commencer par le contenu des études de la victime qui serait en quatrième année de pharmacie, et non de médecine « C’est scandaleux de révéler de tels mensonges », s’est époumoné Frédéric Vavdin. Selon ce médecin urologue de la ville de Carcassonne, la mère du défunt aurait retrouvé son fils jeudi soir « inanimé devant son ordinateur, dans sa chambre ». Une découverte macabre qui aurait bien été suivie de l’intervention des équipes médicales. « Les outils chirurgicaux retrouvés à côté du corps, tout comme la perfusion et l’intubation, sont liés à l’intervention des équipes médicales et des pompiers venus sur place », a assuré l’oncle de la victime. Pour l’heure, Frédéric Valtin assure croire plus en la thèse « d’un malaise fatal », « d’une rupture d’anévrisme » ou « d’un suicide ». De son côté, le parquet de Rouen, lui, a confirmé l’ouverture d’une enquête tout en assurant qu’aucune piste n’était pour l’heure écartée. |