« J’ai quitté l’hôpital pour continuer à exercer ma passion dans un environnement stimulant chez Point Vision »

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Après 30 ans à l'hôpital public, le Dr Patrick Ligeon-Ligeonnet ancien chef de service a rejoint Point Vision il y a 3 ans, à 62 ans. Pour ce chirurgien ophtalmo passionné, rejoindre le groupe a été un choix mûrement réfléchi pour continuer à exercer dans les meilleures conditions. Témoignage sans fard d'un praticien épanoui.

 

« J’ai quitté l’hôpital pour continuer à exercer ma passion dans un environnement stimulant chez Point Vision »

Dr Patrick Ligeon-Ligeonnet, de l'hôpital à Point Vision.

© DR.

Patrick Ligeon-Ligeonnet est un homme qui réfléchit avant d’agir. Après des décennies d'exercice à l'hôpital, alors que d’autres ne pensent qu’à raccrocher, épuisés par des combats qui n’ont rien à voir avec le soin ou les patients (no comment !), lui a fait le choix inverse d’intégrer un groupe et de monter une nouvelle équipe… Le chirurgien ophtalmologiste expérimenté confie qu’il a été démarché à plusieurs reprises mais que tout s'est fait sur 2-3 ans, en pensant chaque étape, pour ouvrir le meilleur centre pour les patients.

S'il a mis du temps à sauter le pas, c'est également parce que Patrick Ligeon-Ligeonnet était très attaché à l'hôpital public. « Mon ADN c'était l’hôpital public mais je me suis lassé des difficultés récurrentes », admet-il. Pourtant, il finit par être convaincu par le projet Point Vision. « La philosophie des choses était à peu près pareille avec une assise quand même bien plus confortable », analyse-t-il. 

Les premiers pas en libéral, on le sait, peuvent être redoutables pour de nouveaux arrivants, entre les frais, les embauches, le matériel, l'URSSAF et tout ce qu’on n’imagine pas comme galères diverses et variées. « Je discutais il y a quelques semaines avec un de mes confrères qui s'est installé à Nice et qui me disait “Jamais je n’aurais pu m'installer à Nice en tant que chirurgien si je n'avais pas eu le support de Point Vision…” La patientèle Point Vision, dès le démarrage, assure une viabilité immédiate au projet. »

Pour ce praticien passionné, l'essentiel était de pouvoir continuer à se concentrer sur la chirurgie, qui représente le cœur de son métier. « Je fais essentiellement de la pathologie chirurgicale », décrit-il et sur cent patients vus en consultation, seulement quatre seront dirigés vers le bloc. Pour assurer un programme de 15 à 20 patients, il vaut donc mieux avoir des journées de consultation bien remplies à l’avance.

600 mètres carrés pour exercer : un peu à l’étroit ?

Au centre Point Vision de Valence, il bénéficie de locaux spacieux (600m2) et d'équipements high-tech pour exercer dans les meilleures conditions. « On est au large. Et on a à peu près tout ce qu'il nous faut comme machine », se félicite Patick Ligeon-Ligeonnet. 

Il apprécie également la flexibilité du modèle Point Vision.« Ça permet de moduler son activité plus facilement », souligne-t-il. À 62 ans, il aspire en effet à réduire progressivement la voilure dans les prochaines années. « C'est vraiment le meilleur compromis de loin, et je ne regrette absolument pas les choix qui ont été faits », confie-t-il.

Le médecin salue aussi l'environnement stimulant au sein du groupe, entouré de confrères experts dans différents domaines : rétine médicale et chirurgicale, suivi des maladies comme la DMLA ou le glaucome. « On s'est partagé un petit peu les sous-domaines de spécialité », décrit-il : « Là, actuellement, on est six ou sept médecins à consulter, certains sur deux jours, d'autres sur trois jours ou quatre jours par semaine. » Idéal pour discuter des cas les plus complexes avec ces collègues et suffisamment nombreux pour assurer une formation des internes de qualité, une dimension de sa pratique qui lui tient à cœur.

S'il a quitté le public, il conserve malgré tout une activité hospitalière, une journée par semaine. Comme si ses journées duraient 36 heures, Patrick Ligeon-Ligeonnet complète également son activité par de l'expertise médico-légale. « J'ai quatre volets à mon activité, j'ai des journées bien occupées ! » résume-t-il, accueillant donc également des patients envoyés par la CCI, le tribunal administratif ou le tribunal judiciaire. Un métier passion, à n’en pas douter. Et pas la moindre trace d’ennui.

Zéro tâche administrative

Le partage des tâches administratives au sein du groupe lui permet de rester concentré sur l'essentiel : les soins aux patients. « L'organisation du flux de patients avec le travail aidé, participe à rendre mon exercice médical très riche », analyse-t-il. Conseillerait-il à un jeune médecin de commencer sa carrière en centre ? Oui, sans hésiter. « Pour un débutant, c’est intéressant de venir chez Point Vision, parce que quand on sort des études, on connaît toutes les maladies rares, on sait opérer mais on ne sait pas gérer le quotidien, on ne sait pas gérer l'argent non plus parce qu'on n'a pas été formé à ça et ça n’est pas évident du tout au début… »

Mais au fait, quid des actionnaires ? Il faut faire du chiffre, non ? Le Docteur Ligeon-Ligeonnet balaye rapidement la question : « Beaucoup de gens qui ne connaissent pas réellement l’activité m'avaient mis en garde en me disant que j’allais avoir une pression financière importante, une pression d'activité importante et ça ne correspond absolument pas à la réalité. J'ai respecté ce qui avait été anticipé et prévu il y a trois ans. Bien sûr que si je travaillais le dimanche matin, ma croissance passerait à deux chiffres mais il faut être réaliste ! » conclut-il avec un grand sourire. 

https://www.whatsupdoc-lemag.fr/page/point-vision

Pour lui, ce modèle associant back-office administratif et équipes médicales spécialisées est clairement gagnant-gagnant. Il permet à la fois d'offrir les meilleurs soins aux patients, et aux praticiens de se consacrer à leur passion dans les meilleures conditions. « J’ai enfin la possibilité d’avoir mes débuts de soirées de libre », conclut-il, visiblement pleinement satisfait de son choix. Et à l'avenir, alors ? 

Un modèle flexible pour une transition en douceur

Patrick Ligeon-Ligeonnet met en avant les avantages du modèle Point Vision pour réduire progressivement son activité : « J’adore ce que je fais mais il y a plein de choses qui m'intéressent dans la vie, et progressivement je vais réduire la voilure », explique-t-il.

https://www.whatsupdoc-lemag.fr/video/jopere-80-cataractes-et-50-myopies-par-mois-cest-hors-du-commun

Le groupe offre une flexibilité inégalée pour gérer cette transition à venir : « Le biseau est quand même beaucoup plus facile à faire qu'en cabinet isolé » selon le praticien. Il compare avec le modèle classique : « Que ce soit pour travailler une journée ou trois par semaine, il faut une secrétaire, il faut un comptable, il faut du matériel, si votre matériel ne tourne qu'un jour par semaine et non pas 5 jours, vous le payez quand même sur les 5 jours. Ici, je vais diminuer comme je le sens et quand je le voudrai… »

En résumé, « Travailler pour Point Vision entraîne beaucoup, beaucoup d'avantages » pour une pratique apaisée :  « Ici, les médecins sont écoutés » insiste-t-il. Et, visiblement, ça change beaucoup de choses. Et ça motive.

- Une vision du bonheur en Ophtalmologie décrite par et pour Point Vision

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