L'idée de cette participation "est inscrite" dans une loi de 2019. Mais à ce jour, "il n'existe aucun cadre national d'application", rappelle le rapport de la DGOS (Direction générale de l'offre de soins) et de la DGESIP (enseignement supérieur et insertion professionnelle).
Les pratiques sont aujourd'hui "très hétérogènes" et "limitées" sur le territoire : sur les 35 facultés de médecine françaises, 17 ont intégré "quelques cours" incluant cette participation, qui "peuvent être ponctuels, uniquement optionnels" ou "davantage intégrés au programme", et seulement six sont réellement organisés avec des "structures dédiées".
Largement reconnus dans certains pays notamment anglo-saxons, les "effets bénéfiques" de cette participation sont "de plus en plus document/em>
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