Médecine olympique : Solène Butruille, l’externe qui s’escrime contre vents et marées

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Combiner serment d’Hippocrate et esprit olympique. C’est le pari que tentent certains apprentis médecins en menant aussi une carrière de sportif de haut niveau. À un an des JO, What’s up doc les a rencontrés. Aujourd’hui : Solène Butruille, championne d’escrime.

Médecine olympique : Solène Butruille, l’externe qui s’escrime contre vents et marées

Avant de parler sport en général et escrime en particulier, peux-tu nous dire où tu en es côté médecine ?

SB : Je suis entrée en médecine par le parcours « alter-Paces », après une licence de sciences pour la santé. Je suis actuellement en quatrième année à la fac de Paris-Cité. C’est en fait ma deuxième quatrième année, je la fais en deux ans, et je ferai la même chose l’année prochaine pour la cinquième année. C’est un parcours très individualisé, et les aménagements se passent très bien avec la fac.

Depuis quand pratiques-tu l’escrime ?

SB : J’ai un frère qui avait voulu en faire, et j’ai suivi car je voulais tout faire comme lui. Au début je n’aimais pas particulièrement cela, je restais surtout parce que j’avais toutes mes copines. Puis vers onze ans, j’

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